[PRESSE] « On veut faire du basket de masse et rayonner sur la ville » : le BMB à la reconquête de… Brest
À l’occasion de l’assemblée générale du Brest Métropole Basket, le samedi 20 septembre, le président du club, Jordan Wallet, a présenté le nouveau projet du club et ses ambitions prometteuses.
Pré-national.
Parce qu’il a bien compris que, contrairement au proverbe, il est nécessaire d’être prophète en son pays, le président du Brest-Métropole-Basket, Jordan Wallet, a présenté le nouveau plan de bataille de son club, samedi, à l’occasion de l’assemblée générale.
« Développer le basket-école »
Repartir et aller de l’avant, semble bien guider l’arrière-petit-fils du fondateur de l’Étendard de Brest qui veut surfer sur la relégation sportive de l’équipe-fanion masculine pour entamer un travail de fond : « On veut faire du basket de masse et rayonner sur tout Brest », explique Wallet en mentionnant les interventions déjà prometteuses dans les quartiers comme Pontanézen : « Nous avons besoin de travailler à la base pour alimenter l’école de basket et ne plus nous retrouver en pénurie de joueurs comme actuellement en U13 et U15.
De grandes ambitions
Pour cela, on va développer le basket-école qui fonctionne déjà bien », ajoute-t-il, en présentant les entraîneurs salariés dédiés à ces missions (Florent Perdriau, César Tanguy et Hugo Mélec) ainsi que les deux chargés de développement (Arnaud Macé et Guillaume Cadalen) aux côtés de la nouvelle chargée de communication (Noa Yvinec).
Des renforts arrivent également au sein du conseil d’administration avec le retour d’un ancien joueur de l’Étendard à moult casquettes par le passé, Bruno Vigouroux, et ceux des bénévoles très présentes Naouelle Pavia et Marine Belbeoc’h : "on va s’attacher aussi à mieux encadrer l’équipe-fanion car une partie de notre travail dépendra aussi de ses résultats. On a un duo d’excellents techniciens aux commandes avec Franck Vérove et Gildas Berthou. Mais, les joueurs savent qu’on vise la remontée immédiate en Nationale 3 et, sur deux-trois ans, un retour en N2. Le travail ne manque pas ».